Le Famicom Titler de Sharp, une machine hybride entre une Famicom et un titreur. Elle permet de superposer les graphisme de la console par dessus une vidéo. Une caméra est branchée sur la console.
Expo terminée, maintenant il fait ranger tous ces câbles et ces consoles qui ont été à nouveau, durant quelques jours, les stars qu’elles étaient à leur époque.
Ca y est, on s’est fait virer par le public ! 😉
On n’a pas pu résister à montrer une nouvelle fois Tennis For Two (a gauche) puisque le premier jeu vidéo de l’histoire à bien sa place parmi toute ces consoles étranges.
Le Pioneer Laseractive. Un lecteur de Laserdisc hybride capable de faire tourner les jeux Megadrive ou PC-Engine à l’aide de modules additionnels. Un truc impensable aujourd’hui.
La PC-Engine Supergrafx dans une configuration peu commune. Elle est reliée à l’extension CD-ROM² (le premier CD-ROM console) et fait tourner un jeu Arcade Card : Fatal Fury Special.
Les japonais présents sur le festival se dépêchaient de venir jouer (et terminer) le shoot Zeroigar qui était proposer avec la PC-Fx Ga. Un jeu de qualité avec une mise en scène très soignée et un gameplay qui plaira aux experts du genre.
A la base, un programme est intégré a la console pour concevoir des effets graphique. Mais ci c’est le jeu Megaman 4 qui tourne. Le joueur que l’on voit sur l’écran n’est pas un reflet, il est filmé par la camera devant lui.
Les images du jeu viennent alors se superposer sur le signal vidéo de la camera. « Idéal » pour créer des effets spéciaux un peu oldschool.
Bienvenu à la première exposition de consoles étranges et mutantes, c’est le SIMM’s Club qui inaugure le concept. Que la visite commence !
Le module noir derrière contient un processeur Z80 et de la mémoire qui est la partie « intelligence artificielle » du jeu.
Le Philips Vidéopac ou Odyssey² aux État-Unis. Une console primitive technologiquement. L’exotisme est qu’elle est ici équipée du « Chess Module » un jeu d’échec ayant une extension parce que la console n’est pas assez puissante pour gérer un jeu d’échecs.
Le TeraDrive, un PC IBM 286 japonais qui intègre une Megadrive et permet également de développer des jeux. Une machine plutôt bien faite.
La PC-Fx Ga. Une carte venant se brancher sur un ordinateur japonais : le PC-98. Cette carte est l’équivalent de la console Nec PC-Fx, mais pour jouer sur son PC ou développer des jeux pour cette console.
Le Pioneer Palcom sous sa configuration ER-101. Sans doute la pièce la plus rare et exotique de cette exposition. Merci a Stéphane pour nous avoir dégoté cette rareté !
Non, non ce n’est pas un PC que l’on a pas eu le temps de remonter. C’est bien le proto d’un kit de développement Playstation.
On a pris quelques photos avant que le public squatte notre stand et nous pousse dehors pour prendre le peu de place qui restera ! 😉