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Call of Duty 3 : les guerres se suivent et se ressemblent !

On pensait avoir déjà pris part à toutes les batailles de la Seconde Guerre mondiale se déroulant en France mais il semblerait qu'Activision en ait encore découvertes quelques-unes, justifiant un troisième Call of Duty. Ainsi, lors d'une récente présentation organisée dans les salons d'un des plus prestigieux hôtels parisiens, nous avons pu prendre contact, pad en main, avec ce FPS lors d'un seul et unique niveau, mais aussi durant une partie en multi entre rédactions.

Précisons qu'il s'agissait de la version Xbox 360. Il faut savoir aussi que ce troisième opus entraînera le joueur dans des combats faisant suite au Débarquement en Normandie et ce, sous l'uniforme de soldats tour à tour américains, britanniques, canadiens ou polonais.

Avant même de nous lancer dans le jeu, nous nous demandions dans quelle mesure il serait possible d'aller au-delà des indéniables qualités du deuxième opus. Eh bien même si ce constat n'est que temporaire car, au bout d'un seul niveau, il est bien entendu impossible de prétendre qu'on a une vision d'ensemble d'un jeu, force est de constater que les éventuelles améliorations ne sautent pas aux yeux. Toutefois, le terme est peut-être impropre dans la mesure où le plus flagrant des progrès concerne justement le graphisme. Les détails des décors, notamment les éléments naturels tels que les arbres ou les brins d'herbe, semblent en effet s'être renforcés en intensité. De son côté, la lumière ne se réfléchit absolument pas de la même manière sur chacune des matières. Un casque produit un halo satiné tandis que les treillis de vos compagnons d'armes restent ternes, rendant ainsi très bien la texture du tissu. Bref, le jeu est de plus en plus beau.

Sur le principe, par contre, on ne peut pas dire que nous ayons été écrasés sous les innovations. Comme dans les précédents volets, le soldat qu'on dirige doit tout à la fois tirer mais aussi se protéger et tenter de rester avec le groupe dont il fait partie. L'ambiance est toujours aussi immersive et intense. Ca tire dans tous les coins, à tel point qu'on finit par se demander d'où viennent les balles. Parfois, les comptes se règlent au corps-à-corps, à grands coups de crosse de fusil. Pour se réapprovisionner ou disposer de davantage de puissance de feu, on peut ramasser les armes des ennemis et, de loin en loin, on prend en main des mitrailleuses fixes pour décimer des hordes d'ennemis qui se lancent à l'assaut. Autre chose : on sent bien dans l'ensemble que la liberté de mouvement n'est qu'apparente et, même si le regard porte loin dans le décors, on est restreint à des tracés relativement délimités. Bref, ce Call of Duty 3 s'annonce pour l'instant comme une itération ni pire ni meilleure que les opus qui l'ont précédé. Ceci dit, pas sûr qu'il faille s'en plaindre...

De son coté, la partie en multi s'est déroulée en mode "Deathmatch en équipe". Les joueurs pouvaient choisir leurs spécialités. Call of Duty 3 en proposera sept allant de l'infirmier chargé de soigner les membres du groupe à l'éclaireur rapide et peu armé, mais pouvant tout de même ordonner un tir d'artillerie sur les positions ennemies. La seule nouveauté notable que nous ayons pu constater dans le déroulement de la partie concernait la gestion des tirs amis. Désormais, si l'un de vos coéquipiers vous tue par erreur, vous pourrez "Punir ou pardonner". Cela pourrait s'avérer très important car durant les parties en multi, les joueurs prendront du galon en fonction de leurs exploits. Par conséquent, les victimes des tirs amis pourront geler la promotion de leurs compagnons en cas d'erreur ou les laisser devenir des officiers de haut rang.

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Source : Jeuxvidéo.com

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